Il ne manquait plus que cela….Le ver est décidément bien dans le fruit à partir du moment où c’est depuis les cuisines de l’Elysée que la révolte gronde…..
Et pour cela, il aura suffi que Madame Nicole Bricq , Ministre du Commerce Extérieur dise à l’oreille de Madame Ayrault…( mais aujourd’hui , il ne faut jamais oublier que les micros ont de longues oreilles) que le repas organisé à la réception officielle du Président Chinois ait déclaré que le repas organisé à l’Elysée était « degueulasse » pour déclencher une bronca de première grandeur !
Tous les soutiens parvenus aux cuisiniers ont obligé Madame Bricq à présenter ses plus plates excuses….
Apparemment , elle n’avait pas encore fini de se curer les dents !
Les cuisiniers Elyséens ont eu beau jeu de lui renvoyer ses excuses en les refusant….Nous les comprenons ….Si ce n’est pourtant le commentaire qu’ils ont fait et qui continue de m’inquiéter lorsqu’ils ont déclaré : « Qu’ils se sentaient meurtris dans leur chair »….Dans leur âme ou dans leur honneur, j’aurais compris ….Mais dans leur chair !….Bigre !….Et du même coup je m’inquiète à mon tour de ce qu’ils ont pu mettre dans les assiettes ce soir là….En espérant toutefois qu’ils ne se seront pas inspirés de certains restaurants chinois qui nous ont déjà étonnés par la composition de leurs menus….Chiens, chats, etc….Nous espérons tout de même qu’à force de se sentir meurtris dans leur chair, nos cuisiniers présidentiels n’auront pas finalement fini par donner trop d’eux mêmes dans la préparation de ce repas… !
Dans tous les cas, il semble néanmoins que Madame Nicole Bricq ait d’ores et déjà en poche son ticket de sortie à l’approche du prochain remaniement…..
Nous retiendrons dans cette affaire le pouvoir occulte des cuisiniers de l’Elysée sur les destinées du Gouvernement…..Les toqués sont au Pouvoir !…..Je m’en doutais déjà un peu à vrai dire…..Mais à ce point là, c’est inattendu !…
Another Bricq in the wall…
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Tout cela parce que pas un seul plat ne comportait de la feuille de B ……Faut l’envoyer à Beziers
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pour une Bricq, t’as plus rien
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